Je pensais que je n'étais pas naïf, mais de plus en plus je me rends compte que je le suis. Cette fin de semaine fût une des plus belles depuis bien longtemps, enfin jusqu'à aujourd'hui. J'avais tout, du plaisir, de l'alcool et une jolie demoiselle pour me tenir compagnie. Après un mois de parlotte virtuelle et un rendez-vous galant, je me suis rapproché de cette fille. Je suis naïf. On se colle, s'embrasse, elle dort avec moi, je retiens mes pulsions. Le lendemain, un baiser tendre à son départ, j'étais comblé. Je voyais en notre rapprochement un signe d'intimité, de compassion.
Tout mon plaisir, je l'ai perdu aujourd'hui. Elle me dit qu'elle trouve que ca va trop vite, elle me reproche plein de chose. Je ne suis pas assez complexe, trop simple. Je suis perdu. Je n'ai rien provoqué, pour une fois. Tout s'est déroulé tout seul, mais l'homme sera toujours le coupable dans cette situation. J'ai perdu toute concentration, je ne pense qu'à savoir pourquoi, les motifs, les raisons. Je suis confus. Je trouve ordinaire d'avoir à subir cet état d'esprit, je peux même sentir mon poul dans mes poignets. J'espère qu'elle comprendra. Je crois que pour la première fois dans ma vie, j'étais vraiment et je suis encore en amour. Malheureusement, ce n'est pas le cas pour elle.
mardi 18 septembre 2007
mardi 31 juillet 2007
Anti-Technologique, non mais oh!
L'étudiant Alpha me propose un blog d'un journaliste aujourd'hui, celui de Patrick Lagacé de CyberPresse. Il n'y connait rien à la technologie ce journaliste, ça parait! Son blog traite des répondeurs automatisés, vous savez quand vous appelez une grande compagnie, le robot qui vous dit d'appuyer sur telle ou telle touche pour rejoindre un service. Je crois qu'il est anti-technologique dans ses propos, ses lecteurs aussi d'ailleurs.
Eh bien mon cher Patrick et vos lecteurs incultes, c'est à votre tour de vous faire critiquer. Je suis un fervant défenseur des droits des robots (organisation qui sera créer dans le futur, je vous le dit). J'en ai même un à la maison. Je crois que vous ne comprenez pas le principe des réceptionistes virtuels. C'est simple comme bonjour pourtant, ça filtre les imbéciles comme vous qui appels pour des conneries!! Les grandes entreprises sont souvant disparates. Encore un mot trop compliqué n'est-ce pas? Ça veut dire, étendue. Leur support technique pour tel ou tel produit n'est pas nécessairement à la même place que le robot ou sur la même étage, dans la même ville, dans le même pays, sur la même planète... Je vous donne un choix simple, une armée de 100 zombies téléphonistes qui trient 5000 appels par heures ou 1 robot? Si vous auriez un budget à gérer, je crois que le choix est plutôt facile. En plus de trier vos appels, le robots peut aussi faire des tâches simples comme donner des informations sur les comptes, faire un changement d'adresse, faire un tracking de colis, etc.. Et vous me dîtes que c'est de la merde?
Je crois que vous devriez être un peu plus moderne. Et pour les téléphonistes qui perdent leur emploi, c'est pas de ma faute moi si vous avez lâché l'école en secondaire 3. Fallais y penser avant!
Blog Initiale : http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720190#comment-115229
Moyenne d'âge des imbéciles qui ont postés : au moins 35-40 ans
Eh bien mon cher Patrick et vos lecteurs incultes, c'est à votre tour de vous faire critiquer. Je suis un fervant défenseur des droits des robots (organisation qui sera créer dans le futur, je vous le dit). J'en ai même un à la maison. Je crois que vous ne comprenez pas le principe des réceptionistes virtuels. C'est simple comme bonjour pourtant, ça filtre les imbéciles comme vous qui appels pour des conneries!! Les grandes entreprises sont souvant disparates. Encore un mot trop compliqué n'est-ce pas? Ça veut dire, étendue. Leur support technique pour tel ou tel produit n'est pas nécessairement à la même place que le robot ou sur la même étage, dans la même ville, dans le même pays, sur la même planète... Je vous donne un choix simple, une armée de 100 zombies téléphonistes qui trient 5000 appels par heures ou 1 robot? Si vous auriez un budget à gérer, je crois que le choix est plutôt facile. En plus de trier vos appels, le robots peut aussi faire des tâches simples comme donner des informations sur les comptes, faire un changement d'adresse, faire un tracking de colis, etc.. Et vous me dîtes que c'est de la merde?
Je crois que vous devriez être un peu plus moderne. Et pour les téléphonistes qui perdent leur emploi, c'est pas de ma faute moi si vous avez lâché l'école en secondaire 3. Fallais y penser avant!
Blog Initiale : http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720190#comment-115229
Moyenne d'âge des imbéciles qui ont postés : au moins 35-40 ans
vendredi 20 juillet 2007
Lorsque rien ne fonctionne...
Il y a des journées comme ça où peut importe ce que l'on fait, tout semble être contre nous. C'est le cas aujourd'hui.
Je me lève ce matin, en retard. Mon cadran n'a pas sonné. J'ai surement oublier de mettre l'alarme hier soir. Je sors dehors, la pluie. J'arrive au métro, il est déjà dans la station. D'un air mesquin, il ferme ses portes devant moi, je dois attendre 5 minutes. J'embarque finalement dans un wagon, il est plein. Je reste debout. Arrivé à ma station, je débarque. Je sors à l'extérieur, encore la pluie. La file pour l'autobus s'étend sur plus de 20 mètres. Le bus arrive, il est lui aussi plein. Tout humide, j'embarque. La chauffeuse fait des siennes, elle veut absolument remplir son véhicule à pleine capacité. Je suis debout. J'ai environ 30 centimètres carrés d'espace. Le climat dans l'autobus est encore pire que celui d'une forest tropicale, il se forme presque du brouillard à l'intérieur. L'autobus roule finalement, enfin!!!
Arrivé au travail, tout humide, il faut prendre un numéro pour les ascenseurs. Finalement, j'arrive à mon bureau. Je travail. Arrivé l'heure du lunch, je me rends compte que je n'ai pas de liquidité sur moi, j'emprunte 10 dollars. Je me rends au restaurant. L'adolescent qui me fait mon sandwich est encore plus lent qu'un escargot. Je le critique, il me regarde d'un air bizarre, je m'en fou. Retour au travail.
Cette après-midi, le système informatique est contre moi. Je recois un courriel sur deux, je ne peux pas faire d'inventaire, internet est lent, la productivité chute. Je regarde dehors, le temps est dépressif. Je blog.
Seule bonne nouvelle, la journée achève! Cependant, il reste encore le retour à la maison. À voir le reste de la journée, je prévois un retour très difficile!!!
Je me lève ce matin, en retard. Mon cadran n'a pas sonné. J'ai surement oublier de mettre l'alarme hier soir. Je sors dehors, la pluie. J'arrive au métro, il est déjà dans la station. D'un air mesquin, il ferme ses portes devant moi, je dois attendre 5 minutes. J'embarque finalement dans un wagon, il est plein. Je reste debout. Arrivé à ma station, je débarque. Je sors à l'extérieur, encore la pluie. La file pour l'autobus s'étend sur plus de 20 mètres. Le bus arrive, il est lui aussi plein. Tout humide, j'embarque. La chauffeuse fait des siennes, elle veut absolument remplir son véhicule à pleine capacité. Je suis debout. J'ai environ 30 centimètres carrés d'espace. Le climat dans l'autobus est encore pire que celui d'une forest tropicale, il se forme presque du brouillard à l'intérieur. L'autobus roule finalement, enfin!!!
Arrivé au travail, tout humide, il faut prendre un numéro pour les ascenseurs. Finalement, j'arrive à mon bureau. Je travail. Arrivé l'heure du lunch, je me rends compte que je n'ai pas de liquidité sur moi, j'emprunte 10 dollars. Je me rends au restaurant. L'adolescent qui me fait mon sandwich est encore plus lent qu'un escargot. Je le critique, il me regarde d'un air bizarre, je m'en fou. Retour au travail.
Cette après-midi, le système informatique est contre moi. Je recois un courriel sur deux, je ne peux pas faire d'inventaire, internet est lent, la productivité chute. Je regarde dehors, le temps est dépressif. Je blog.
Seule bonne nouvelle, la journée achève! Cependant, il reste encore le retour à la maison. À voir le reste de la journée, je prévois un retour très difficile!!!
jeudi 19 juillet 2007
La justice au travail
J'en ai marre. Je me sens observé comme une souris de laboratoire. Tout ce que je dit, ce que je fais sur mon poste de travail risque d'être intercepté et analysé par mon employeur (même ce message). Non mais ma liberté elle! Je ne peux pas regarder de videos, me connecter chez moi à distance, regarder des blogs, les sites de nouvelles, ni converser avec mes amis. C'est contre les règles il parait, même si la règle stipule la chose autrement, c'est un autre débat. Je suis en cage. En voici la preuve.
J'arrive ce matin, un peu en retard. Comme à l'habitude le transport en commun n'est pas fiable. En arrivant dans les bureaux de la compagnie, je dit un chaleureux bonjour à ma patronne. Elle était déjà arrivée, c'est très rare. Je me demande d'ailleurs pourquoi. J'ai ma réponse très vite.
J'ouvre mon poste, me connecte au réseau avec un mot de passe vraiment compliqué, il fait 10 caractères et contient plein de pictogrammes complexes. Je reçois immédiatement un avis comme quoi j'ai reçu deux courriels. Je consulte le premier. Un rapport d'observation de mon utilisation internet, 41 hre de clavardage dans le dernier mois. Je suis stupéfait. J'ouvre le deuxième, convocation dans le bureau de ma patronne au sujet du rapport. Je suis nerveux. Je sais très bien que je vais me faire tirer des bêtises par la tête.
C'est ce qui est arrivé. Après la rencontre, je suis abasourdit, complètement bouchebé. Au plus profond de moi, je n'en reviens tout simplement pas. Tant de frustration causé par l'utilisation d'un moyen de communication pratique. Ridicule!!!
Je me plein toute la journée. Je me demande pourquoi alors suis-je le seul à me faire critiquer quand pratiquement tout le monde de mon département utilisent le même outils en permanence. J'investigue. Finalement, je trouve ma réponse.
Il va s'en dire que je fut très surpris du résultat. Les gens contournent les protections grâces à leurs droits d'accès. Offusquant n'est-ce pas! En étant un bon employé, en respectant une règle, je me fais prendre.
La justice, où est-elle?
J'arrive ce matin, un peu en retard. Comme à l'habitude le transport en commun n'est pas fiable. En arrivant dans les bureaux de la compagnie, je dit un chaleureux bonjour à ma patronne. Elle était déjà arrivée, c'est très rare. Je me demande d'ailleurs pourquoi. J'ai ma réponse très vite.
J'ouvre mon poste, me connecte au réseau avec un mot de passe vraiment compliqué, il fait 10 caractères et contient plein de pictogrammes complexes. Je reçois immédiatement un avis comme quoi j'ai reçu deux courriels. Je consulte le premier. Un rapport d'observation de mon utilisation internet, 41 hre de clavardage dans le dernier mois. Je suis stupéfait. J'ouvre le deuxième, convocation dans le bureau de ma patronne au sujet du rapport. Je suis nerveux. Je sais très bien que je vais me faire tirer des bêtises par la tête.
C'est ce qui est arrivé. Après la rencontre, je suis abasourdit, complètement bouchebé. Au plus profond de moi, je n'en reviens tout simplement pas. Tant de frustration causé par l'utilisation d'un moyen de communication pratique. Ridicule!!!
Je me plein toute la journée. Je me demande pourquoi alors suis-je le seul à me faire critiquer quand pratiquement tout le monde de mon département utilisent le même outils en permanence. J'investigue. Finalement, je trouve ma réponse.
Il va s'en dire que je fut très surpris du résultat. Les gens contournent les protections grâces à leurs droits d'accès. Offusquant n'est-ce pas! En étant un bon employé, en respectant une règle, je me fais prendre.
La justice, où est-elle?
mardi 17 juillet 2007
Les parents irresponsables
Il fait chaud. La température est de 26 degré à l'extérieur selon environnement canada. Il est 17 heure tout juste passé. J'ai hate de retourner à la maison après une bonne journée de travail. La patience n'y est plus.
Comme tous les soirs après le travail, j'attends l'autobus. Surpris, elle m'attendait. Arrivé au métro, avant même de mettre les pieds dans la station, je peux déjà sentir la chaleur des rames. Je sais que la route ne sera pas facile. Arrivé sur la rame, le métro arrive en parfaite synchronisation. Je me dit, wow! je suis chanceux aujourd'hui, erreur monumentale!
J'embarque dans le wagon, déjà bondé de zombie aussi impatient que moi. La moyenne d'âge est d'environ 30 ans, les 2 jeunes enfants présents font baisser considérablement la moyenne. Le métro roule à vive allure, jusque là pas de problème. Tout à coup, la voix infernale de Mme. STM se fait entendre, vous savez celle qui annonce les mauvaises nouvelles à l'intercom. Comme de fait, ralentissement de service sur ma ligne. Ça y est, la galère qui commence.
Le problème n'est pas la STM, c'est un des deux enfants. Assis bien penard dans sa poussette inconfortable, il commence à pleurer, mais à pleurer, mais à pleurer!!! Le conducteur du métro ferme les portes. Le bruit strident des cris de l'enfant commence à sérieusement me tapper sur les nerfs. Je ne blâme pas l'enfant, mais l'incompétence de sa mère qui ne fesait rien pour l'arrêter. Il reste encore 3 stations de métro à franchir. Vais-je tenir? L'enfant continue de crier et de pleurer, sa mère toujours inactive. "Non mais bordel!!!! Vas-tu lui fermer la trappe!!", pensais-je. Je regarde autour de moi, tout le monde semble penser comme moi, leur patience n'est plus.
La porte du métro s'ouvre, c'est ma station. En sortant, je pris bien soin de regarder la mère irresponsable d'un regard foudroyant. J'espère qu'elle à compris le message subtile que je lui ai tendu.
Je n'ai rien contre les enfants. Comme on dit souvant, ce n'est jamais la faute de l'employé mais bien du patron. Cependant, j'ai une dent contre les parents qui laisse leurs enfants trop gâtés faire ce qu'ils veulent sans intervenir. C'est de l'irresponsabilité!!
Comme tous les soirs après le travail, j'attends l'autobus. Surpris, elle m'attendait. Arrivé au métro, avant même de mettre les pieds dans la station, je peux déjà sentir la chaleur des rames. Je sais que la route ne sera pas facile. Arrivé sur la rame, le métro arrive en parfaite synchronisation. Je me dit, wow! je suis chanceux aujourd'hui, erreur monumentale!
J'embarque dans le wagon, déjà bondé de zombie aussi impatient que moi. La moyenne d'âge est d'environ 30 ans, les 2 jeunes enfants présents font baisser considérablement la moyenne. Le métro roule à vive allure, jusque là pas de problème. Tout à coup, la voix infernale de Mme. STM se fait entendre, vous savez celle qui annonce les mauvaises nouvelles à l'intercom. Comme de fait, ralentissement de service sur ma ligne. Ça y est, la galère qui commence.
Le problème n'est pas la STM, c'est un des deux enfants. Assis bien penard dans sa poussette inconfortable, il commence à pleurer, mais à pleurer, mais à pleurer!!! Le conducteur du métro ferme les portes. Le bruit strident des cris de l'enfant commence à sérieusement me tapper sur les nerfs. Je ne blâme pas l'enfant, mais l'incompétence de sa mère qui ne fesait rien pour l'arrêter. Il reste encore 3 stations de métro à franchir. Vais-je tenir? L'enfant continue de crier et de pleurer, sa mère toujours inactive. "Non mais bordel!!!! Vas-tu lui fermer la trappe!!", pensais-je. Je regarde autour de moi, tout le monde semble penser comme moi, leur patience n'est plus.
La porte du métro s'ouvre, c'est ma station. En sortant, je pris bien soin de regarder la mère irresponsable d'un regard foudroyant. J'espère qu'elle à compris le message subtile que je lui ai tendu.
Je n'ai rien contre les enfants. Comme on dit souvant, ce n'est jamais la faute de l'employé mais bien du patron. Cependant, j'ai une dent contre les parents qui laisse leurs enfants trop gâtés faire ce qu'ils veulent sans intervenir. C'est de l'irresponsabilité!!
lundi 16 juillet 2007
Mais pourquoi?!
Bonjour à tous, chers lecteurs, bien que vous soyez surement minimes jusqu'à maintenant. Disons que je suis nouveau dans le métier de "blogger", mais je ne manque pas d'inspiration lorsqu'il s'agit de critiquer. Je suis un maître jacasseur et comme dirait si bien mes amis : "Un esti de chialeux!".
C'est pourquoi j'ai décidé, par cette soirée monotone et froide de juillet (vous voyez!) , de mettre sur papier (hmm sur page web...) mes frustrations vécues dans la journée, la semaine ou le mois. Tout va dépendre des situations, des cons que je rencontrerai et des situations chiantes comme par exemple les interminables bouchons de Montreal, la télévision qui marche pas, hydro-québec qui brise, les moustiques, peut-importe tant que c'est chiant!
Alors, je vous dit à bientôt!!!
* Le masculin est utilisé parce que je suis masculin et pour alléger le texte.
C'est pourquoi j'ai décidé, par cette soirée monotone et froide de juillet (vous voyez!) , de mettre sur papier (hmm sur page web...) mes frustrations vécues dans la journée, la semaine ou le mois. Tout va dépendre des situations, des cons que je rencontrerai et des situations chiantes comme par exemple les interminables bouchons de Montreal, la télévision qui marche pas, hydro-québec qui brise, les moustiques, peut-importe tant que c'est chiant!
Alors, je vous dit à bientôt!!!
* Le masculin est utilisé parce que je suis masculin et pour alléger le texte.
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